Le quatrième épisode nous conduit à la Chevalerie, hameau de Vollore montagne où règnent depuis 1700 les Lévigne, marchands de bois par eau.
C'est Marie Lévigne (1809-1882) descendante déclassée de cette famille opulente (pour la contrée) qui raconte sa jeunesse, son mariage, la perte d'un de ses deux fils et sa déception devant la mort de sa belle-fille et la faillite de son fils.
Un lecteur, decendant lui aussi de cette famille Lévigne, m'a laissé un commentaire intéressant :
"Merci pour votre envoi et félicitation pour cet excellent travail. J'ai appris plusieurs choses que je ne savais pas et ai retrouvé une espèce de condescence que je percevais parfois chez mon grand-père lorsque l'on pouvait évoquer les autres Lévigne de Vollore. Lui le rentier, fils du fils aîné qui avait fait fortune, petit-fils du maire de Vollore-Montagne qui a hérité du berceau familial de La Chevalerie et a pu laissé à son décès qq biens à ses onze enfants qui savait bien évidemment lire et écrire, comme son père d'ailleurs, ne pouvait être confondu avec les autres branches Lévigne.
Hormis la branche d'Anatole qui, étant resté au pays, a hérité de La Chevallerie, les autres Lévigne, tout frères qui pouvaient être étaient les obligés de son père Auguste (régisseurs de La Jallerie ou prête nom de la pharmacie de la place Sathonay à Lyon)".