Certaines parcelles en ce début mars sont déjà toutes prêtes pour les semis : la terre est affinée et les chemins du jardiniers bien matérialisés.
Dans d'autres, on vient juste de labourer ou bien rien n'a encore été fait.
Les modalités diffèrent : qui fait venir un voisin pour labourer ( juste trancher et mettre sur le côté), qui emprunte un motoculteur, qui fait les deux ! Personne à la grolinette dans ce jardin traditionnel, mais les idées du "sans labour" font leur chemin et mon amateur de choux voit d'un très mauvais oeil celui qui en fait trop et malmène la terre.
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